dimanche 26 novembre 2006

Retourner à l'université...

Que retenir de nos rencontres ? Beaucoup de choses en vérité.
La bonne ambiance, bien sûr, qui a régné pendant ces 2 jours et le plaisir de se revoir, nous qui en avons si peu souvent l'occasion.
La qualité de notre réunion, ensuite, qui doit beaucoup à l'accueil chaleureux et à l'organisation sans faille de l'équipe com' de la Caisse de l'Allier.
L'intérêt de nos échanges, enfin, et la richesse des enseignements que l'on peut en tirer.

Ces enseignements, quels sont-ils ?
A mes yeux, le premier de tous et peut-être le plus important aussi est qu'il nous faut nous former à ces nouveaux médias et surtout, à la culture nouvelle qu'ils constituent pour la plupart d'entre nous.
Comme l'a dit l'un des intervenant à cette université, les nouveaux médias ne sont pas "un effet de mode", mais bien une tendance de fond, qui vient boulev erser nos savoir-faire.
Ainsi, loin d'une "simple" révolution technologique, c'est d'un profond changement culturel qu'il s'agit pour nous d'intégrer, notamment parce qu'il est porté par les nouvelles générations qui sont notre public de demain, ou plutôt, de tout à l'heure.
Ceci nous ramène à une réalité que l'on a un peu trop tendance à oublier : le savoir-faire professionnel est relatif et périssable. Il faut l'entretenir, en permanence, en se formant. Ce qui nécessite efforts et humilité de notre part ; soutien et prévoyance de la part de l'entreprise.
A suivre..., et rendez-vous sur le site de l'université dès cette semaine pour vous replonger dans les supports d'intervention de nos intervenants et pour remplir l'évaluation qui nous aidera à faire mieux la prochaine fois.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Félicitations, pour ce bel exemple de réactivité.

lydie a dit…

... et d'interactivité !

Pierre,

je ne savais pas que tu avais emmené tes enfants à Vichy, tu aurais pu me les présenter ;-)

Quoiqu'il en soit, je sui sentièrement d'accord avec ton analyse : "Ceci nous ramène à une réalité que l'on a un peu trop tendance à oublier : le savoir-faire professionnel est relatif et périssable. Il faut l'entretenir, en permanence, en se formant. Ce qui nécessite efforts et humilité de notre part ; soutien et prévoyance de la part de l'entreprise."
Cependant, il me semble, encore aujourd'hui, que l'on ne nous prenne pas au sérieux. Et cela, ça fait plus de 6 ans que j'en entends parler...

Anonyme a dit…

Un exemple d'application des nouvelles technologies dans la vie quotidienne du malade : la société e-medicis qui propose un rappel par téléphone, email ou SMS pour ne pas oublier de prendre ses médicaments.
E-medicis