jeudi 30 novembre 2006

Prendre la vague

Le deuxième grand enseignement des notre université : c'est sans doute qu'il ne faut pas manquer la vague.
Comme l'a dit un intervenant, les nouveaux médias ne sont pas un effet de mode, mais bien une tendance profonde. Gardons en mémoire ces ordres de grandeur : 80 % des 13-14 ans surfent sur internet régulièrement et... 61 % des 15-25 ans ont laissé internet supplanter la télévision dans leurs activités (Source médiamétrie, Ipsos, TNS-Sofrès).
Bien entendu, comme dans tous les grands chambardements, ce qui se produit part dans toutes les directions, s'amplifie largement par "auto-allumage" et produit ce que Michel Germain appelle "l'infobèsité".
Mais d'ici peu, cette nouvelle culture aura muri, comme la génération qui la porte, et une forme de régulation s'instaurera de manière naturelle.
D'ici-là, il nous appartient, à nous qui nous prétendons communicants plus qu'à d'autres, de "nous y mettre" : il faut nous jeter à l'eau, nous immerger dans cette nouvelle culture comme on apprendrait un nouveau langage.
Il s'agit de ne pas manquer cette "révolution" et de bien intégrer les 3 principaux changements dont elle semble porteuse en premier lieu :
  • les techniques utilisées font appel à de nouveaux codes de communication (image, son, écriture plus nerveuse et plus courte, transparence, originalité, etc.) ;
  • il est important d'intégrer dès maintenant ces nouveaux médias, parmi les supports et relais possibles de nos actions de communication ;
  • la dimension relationnelle de nos actions (contact humain direct) sera à l'avenir d'autant plus importante que sera large la palette de nos services dématérialisés et virtuels.

A suivre...

dimanche 26 novembre 2006

Retourner à l'université...

Que retenir de nos rencontres ? Beaucoup de choses en vérité.
La bonne ambiance, bien sûr, qui a régné pendant ces 2 jours et le plaisir de se revoir, nous qui en avons si peu souvent l'occasion.
La qualité de notre réunion, ensuite, qui doit beaucoup à l'accueil chaleureux et à l'organisation sans faille de l'équipe com' de la Caisse de l'Allier.
L'intérêt de nos échanges, enfin, et la richesse des enseignements que l'on peut en tirer.

Ces enseignements, quels sont-ils ?
A mes yeux, le premier de tous et peut-être le plus important aussi est qu'il nous faut nous former à ces nouveaux médias et surtout, à la culture nouvelle qu'ils constituent pour la plupart d'entre nous.
Comme l'a dit l'un des intervenant à cette université, les nouveaux médias ne sont pas "un effet de mode", mais bien une tendance de fond, qui vient boulev erser nos savoir-faire.
Ainsi, loin d'une "simple" révolution technologique, c'est d'un profond changement culturel qu'il s'agit pour nous d'intégrer, notamment parce qu'il est porté par les nouvelles générations qui sont notre public de demain, ou plutôt, de tout à l'heure.
Ceci nous ramène à une réalité que l'on a un peu trop tendance à oublier : le savoir-faire professionnel est relatif et périssable. Il faut l'entretenir, en permanence, en se formant. Ce qui nécessite efforts et humilité de notre part ; soutien et prévoyance de la part de l'entreprise.
A suivre..., et rendez-vous sur le site de l'université dès cette semaine pour vous replonger dans les supports d'intervention de nos intervenants et pour remplir l'évaluation qui nous aidera à faire mieux la prochaine fois.

jeudi 23 novembre 2006

Le journal de l'université de la com'

L'université 2006 est à peine terminée. Pourquoi s'arrêter d'échanger sur le chemin du retour ?
Alors "bloggons" puisque de blogs, il a été largement question. Et de nouveaux médias en général.
Engouffrons-nous dans la porte ouverte à Vichy : c'est la porte ouverte sur demain !

Pierre Fradin